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"Seigneur, enseigne-moi à ne pas parler comme un bronze qui résonne ou une clochette stridente, mais avec amour. Rends-moi capable de comprendre et donne-moi la foi qui soulève des montagnes, mais avec amour. Enseigne-moi cet amour toujours patient et gracieux; jamais envieux, prétentieux, égoïste ni susceptible. L'amour qui trouve sa joie dans la vérité, toujours prêt à pardonner, à croire, à espérer, à supporter. Enfin, quand toutes les choses finies se dissoudront et que tout sera clair, fais en sorte que j'aie été le reflet, faible mais constant, de ton amour parfait. " mère Teresa

 

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Introduction à la vie dévote Saint François de Sales 

Chapitre 29 : La médisance ici

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CROIRE À L'AMOUR PÈRE D'ELBÉE

Reprenant la doctrine de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, il a puisé dans l'Ecriture, et par-dessus tout dans l'Evangile, les vérités qui dilatent les coeurs et les entraînent vers Celui qui n'est qu'Amour. Lu les jeudis soirs durant l'heure Sainte.

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Extraits :

" Il faut bien le dire, tout au long de votre vie, à chaque pas, vous trouverez la Croix de votre Divin Modèle, de votre Roi crucifié et couronné d'épines, Jésus. L'humiliation est une croix amère. L'abandon est une vraie crucifixion quand il est bien compris. La messe et la communion sont inséparables du Calvaire. Pas de réparation sans pénitence et sans sacrifice. Dans l'apostolat, la monnaie pour acheter les âmes, c'est la souffrance acceptée avec amour. Supprimer la Croix de votre vie, tout s'affaisse. La croix est la structure. Comme elle a porté le Sauveur, elle porte le salut, elle doit nous porter nous aussi, et toutes nos œuvres.

Tous ici, je n'ai pas besoin de vous le demander, vous avez souffert et vous souffrirez encore. Je suis sûr de vous donner un grand réconfort en vous parlant du prix de la Croix.

Mais ne regardez jamais la croix sans Jésus. Si je dois porter la croix tout seul, je renonce d'avance. Je ne veux pas toucher du bout du doigt se fardeau rebutant, je suis trop faible, trop lâche, trop sensible ; c'est trop dur de souffrir. Je mérite cent fois de souffrir sans Vous, mais, Jésus, c'est avec Vous que je veux souffrir. Avec Vous, j'accepte toutes les croix, toutes, si Vous les porter avec moi. Vous pourrez vous cacher, Vous pourrez faire comme si vous n'étiez pas là, comme si je la porter tout seul, je veux bien, à une condition, c'est que Vous soyez caché dans mon coeur.

Comment être chrétiens, les sujets d'un Roi couronné d'épines, baptisés dans son sang, absous si souvent dans son sang, communiant tous les jours, à la messe, à son immolation, et fuir la Croix ? Ce serait oublier que la Croix est une invention merveilleuse de la miséricorde divine pour nous donner l'occasion de prouver à Jésus que nous L'aimons. Qu'est-ce qu'un amour qui ne se prouve pas ? Je vous le disais, l'amour est un choix. Quelle mérite à choisir Jésus si nous n'avions à Le suivre que sur un chemin de roses ? "

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" Allons plus loin encore en disant : bonheur et souffrance sont inséparables. On craint de faire une telle affirmation parce que le monde vous traite de fou. Comment ? Dire que bonheur et souffrance sont inséparables, mais c'est juste le contraire.

Ce n'est pas moi qui le dit, c'est Jésus dans les béatitudes. Ouvrez l'Evangile au Sermon sur la montagne. Que nous dit-il ? Bienheureux ceux qui pleurent, bienheureux les pauvres, bienheureux ceux qui souffrent. Voilà bien l'affirmation que vrai bonheur et souffrance sont inséparables. On traite de folie ce qui nous vient tout droit du divin Maître. C'est que les sentences du monde sont exactement opposées aux sentences du Sermon sur la montagne. Jésus dit : Bienheureux les purs, le monde dit : bienheureux les viveurs ; Jésus dit : Bienheureux ceux qui pleurent, le monde dit : bienheureux ceux qui rient et s'amusent ; Jésus dit : Bienheureux les doux, les miséricordieux, le monde dit : bienheureux ceux qui s'imposent et qui dominent ; bienheureux les pauvres, bienheureux les riches ; bienheureux ceux qui souffrent, bienheureux ceux qui jouissent. Il faut revenir au Sermon sur la montagne. Il ne faut pas avoir peur de dire ce qu'a dit Jésus et de l'affirmer après Lui. On prêche trop peu les béatitudes. On parle trop peu du ciel parce que Jésus dit : Bienheureux dès cette terre, mais surtout là-haut n'est-ce pas ? Les seuls, les vrais heureux ce sont ceux qui ont choisi Jésus et sa croix sur la terre, ce sont des voleurs de bonheur parce qu'ils sont heureux au centuple dès ici bas et que sera-ce pendant toute l'éternité ! "

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QUAND LE SEIGNEUR PARLE AU COEUR PÈRE GASTON COURTOIS

" Je ne déçois jamais ceux qui se fient à Moi.

Pourquoi demandes-tu si peu ? Que ne peux-tu obtenir ! 

Je suis Celui qui prie en toi et draine tes détresses,

tes besoins pour les présenter au Père.

Je suis Celui qui supplée à tes insuffisances et qui,

en t'envoyant mon Esprit, fait grandir la charité en ton cœur.

Je suis le tendre Ami toujours présent, toujours miséricordieux,

toujours prêt à te pardonner et à te sérer sur mon cœur. 

Je suis Celui qui un jour viendra te chercher pour t'assumer en Moi

et te faire partager avec tes multiples frères les joies de la vie trinitaire."

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LE LIVRE DE L'AMOUR INFINI MÈRE LOUISE MARGUERITE CLARET DE LA TOUCHE

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Le sacré Coeur et l'Eucharistie

Deus Caritas est... Dieu aime, aimer c'est donner. Dieu a tout donné et s'est donné Lui-même, à commencer par l'existence et celle de tous les êtres, voilà la création.

 

Dieu aime : aimer c'est parler, se faire entendre à ceux qu'on aime, et voilà la Révélation, les saintes écritures, sa loi.

 

Dieu aime : aimer c'est se faire semblable à ce qu'on aime, et voilà l'Incarnation.

 

Dieu aime : aimer c'est coûte que coûte sauver ce que l'on aime, mourir pour ce qu'on aime, voilà la Rédemption.

 

Aimer c'est vouloir être perpétuellement présent à ceux qu'on aime, voilà l'Eucharistie, la Présence réelle, l'autel.

 

Aimer c'est se donner à chacun de ceux qu'on aime, et voilà la Divine Communion, la Cène.

 

Enfin, aimer c'est vouloir rendre heureux, avec soi et à jamais tous ceux qu'on a aimé, et voilà l'éternelle béatitude et le Ciel. Vaste synthèse de l'Amour, qui est aussi celle de toute notre foi !

 

La dévotion à l'Eucharistie et la dévotion au Sacré Coeur ne sont pas seulement des dévotions soeurs, elles ,ne sont en réalité qu'une seule et même dévotion. Elles se complètent et se développent l'une l'autre, elles se confondent si parfaitement ensemble que l'une ne saurait aller sans l'autre et que leur union est absolue. Si nous avons la dévotion au Sacré Coeur, nous voudrons Le trouver pour L'adorer, L'aimer, Lui offrir nos réparations et nos louanges, et où Le chercherons-nous si ce n'est dans l'Eucharistie, où Il se trouve éternellement vivant ?

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LE TRAITE DE LA VRAIE DEVOTION A LA SAINTE VIERGE SAINT LOUIS MARIE GRIGNON DE MONTFORT ici

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L'EVANGILE TEL QU'IL M'A ÉTÉ RÉVÉLÉ

Clouée au lit depuis de nombreuses années déjà, Maria Valtorta reçoit, au plus sombre de la 2ème guerre mondiale, la vision complète des scènes de l'Évangile. Cette vie de Jésus, étonnante de précisions, a été lue, à titre personnel, par trois Papes, des théologiens et biblistes et rencontre un succès populaire ininterrompu depuis 60 ans.

 

Les écrits :

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Extraits : Je suis la Lumière, et la lumière illumine. Le monde n'aime pas la lumière car elle manifeste les actions du monde [3]. Le monde ne m'aime pas, il ne peut pas m'aimer car il sait que je suis venu pour le vaincre dans le cœur des hommes et dans le roi ténébreux qui le domine et le dévoie. Le monde ne veut pas se convaincre que je suis son Médecin et son Remède et, comme un fou, il voudrait m'abattre pour n'être pas guéri. Le monde encore ne veut pas se persuader que je suis le Maître parce que ce que je dis est contraire à ce qu'il dit. Et alors il cherche à étouffer la Voix qui parle au monde afin de l'instruire à Dieu, de lui montrer la vraie nature de ses actions qui sont mauvaises. Entre le Monde et Moi, il y a un abîme, et pas par ma faute. Je suis venu pour donner au monde la Lumière, le Chemin, la Vérité, la Vie. Mais le monde ne veut pas m'accueillir et pour lui ma lumière devient ténèbres parce qu'elle sera la cause de la condamnation de ceux qui n'ont pas voulu de Moi. Dans le Christ se trouve toute la Lumière pour ceux d'entre les hommes qui veulent l'accueillir, mais dans le Christ aussi se trouvent toutes les ténèbres pour ceux qui me haïssent et me repoussent. C'est pour cela qu'au commencement de mes jours mortels, j'ai été prophétiquement indiqué comme "un signe de contradiction" [4] parce que, selon la manière dont je serai accueilli, ce sera salut ou condamnation, mort ou vie, lumière ou ténèbres. L'Evangile tel qu'il m'a été révélé.

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Catéchèse du Christ du 4 juin 1943 

 

Maintenant, je vais te demander une chose. Tu sais, et tu y penses avec douleur, qu’un grand nombre d’hosties sont éparpillées parmi les saletés et les ruines dans la dévastation des églises . C’est comme si J’étais moi-même renversé parce que je suis dans le Saint Sacrement. Eh bien, étends idéalement ton amour comme un tapis précieux, comme une nappe du lin le plus pur pour me recueillir, moi-Eucharistie, frappé, blessé, profané, chassé de mes tabernacles, non par ces petits hommes qui frappent mes églises ils ne sont que les instruments mais par Satan qui inspire leurs actions, Satan qui sait que le temps presse et que cette lutte est parmi les luttes décisives qui anticipent ma venue. Oui. Derrière le paravent des races, des hégémonies, des droits, derrière le mobile des nécessités politiques se cachent en réalité le Ciel et l’Enfer qui se combattent. Et il suffirait que la moitié des croyants dans le vrai Dieu - mais que dis-je ? Moins que cela, moins du quart des croyants - croient réellement en mon Nom pour que les armes de Satan soient domptées. Mais où est la Foi ? Aime le moi Eucharistique. L’Eucharistie est le cœur de Dieu, c’est mon cœur Je vous ai donné mon cœur à la dernière cène; pourvu que vous le vouliez, je vous le donne toujours. Et vous ne concevrez pas le Christ en vous et vous ne lui donnerez pas le jour si vous ne savez pas faire vivre son cœur en vous. Lorsqu’une créature se forme dans les entrailles d’une femme, qu’est-ce qui se forme en premier ? Le cœur. Il en est ainsi pour la vie de l’esprit. Vous ne pourrez donner le Christ si vous ne formez pas en vous son cœur en aimant l’Eucharistie qui est Vie et vraie Vie. En aimant comme ma Mère m’aima dès ma conception. Oh ! Quelles caresses à travers sa chair vierge, à moi, informe et minuscule, qui palpitais en elle, avec mon petit cœur embryonnaire ! Oh ! Quels frémissements je communiquais à son cœur, à travers les replis obscurs de l’organisme, des profondeurs de ce tabernacle vivant où je me formais afin de naître et de mourir pour vous, en crucifiant le cœur de ma Maman à la même croix, pour vous ! Mais ces mêmes frémissements, je les communique à votre cœur quand vous me recevez. Votre pesanteur charnelle et intellectuelle ne vous permet pas de les percevoir, mais je vous les donne. Ouvre-toi entièrement pour me recevoir. Plusieurs fois par jour - je ne peux pas te dire à chaque instant, mais si tu étais un chérubin et non une créature qui connaît les faiblesses de la matière, je te dirais à chaque instant - répète cette prière : "O Jésus, qui es frappé dans nos églises par la main de Satan, je t’adore dans toutes les hosties détruites et éparpillées dans les décombres. Prends-moi pour ton ciboire, ton trône, ton autel. Je sais que je ne suis pas digne, mais tu aimes rester parmi ceux qui t’aiment, et je t’aime pour moi et pour ceux qui ne t’aiment pas. Que la douleur m’empourpre comme du sang afin que je devienne un digne ornement pour te recevoir, toi qui veux être semblable à nous en ce temps de guerre. Que mon amour soit une lampe qui brûle devant toi, très saint, et mon holocauste, de l’encens. Ainsi soit-il".

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